Amool...
Et flamenco.
Puis, le verre vibrant de piétinements m'a fait réaliser que nous n'étions qu'un: pieds, guitare et doigts entrelacés. C'est dans l'onde que j'ai vu que les courbes de la danseuses me portaient aux tiennes et qu'à la fin des hanches il y a un coup de reins, le mien. Accompagné d'un soupir.
Le chanteur de sa voix cassée s'est imposé, remplissant la salle.
Su boca era como una fuente.
Su boca era como una fuente.
J'y ai bu, j'y bois...
Je t'ai bu des yeux pour te dire que je ne te connaissais pas, que ton visage était étranger, mais que je t'aimais quand même.
Toi, tu m'as aspiré et tu n'as pas compris pourquoi j'étais si calme.
Almool...
Et flamenco.
" Venus In Furs" Irene Gonzalez (http://libro-sin-punto-final.blogspot.com/) et Clément Baills
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